Si vous me connaissez depuis un certain temps (quand j’étais étudiante par exemple), vous savez que je n’ai pas la main verte du tout… j’ai quand même fait mourir de la fougère et de la menthe, plantes qui sont qualifiées par tout le monde d’increvables !
Je me suis un peu améliorée depuis, avec quelques plantes araignées qui survivent plutôt bien maintenant que j’ai compris quand elles ont soif ou pas.
Et nos expériences de faire pousser les noyaux d’avocat survivent généralement jusqu’aux vacances où nous les laissons pour 3 semaines sans arrosage.
Mais ce Noël, mon père a trouvé probablement la solution qui me correspond le mieux : de l’hydroponie.
Le système est assez simple :
- un bac dans lequel on met de l’eau,
- un flotteur pour contenir la plante, et indiquer s’il faut remettre de l’eau,
- une cartouche qui contient les graines, de la terre et tous les nutriments dont la plante a besoin pour pousser,
- une rampe de LED qui s’allume et s’éteint automatiquement sur une cycle de 12 ou 14h selon le type de plante. Ce qui nécessite une prise électrique à proximité.
Il y a trois cartouches livrées avec la boîte initiale (trop de basilic pour moi ;)), et plein de possibilités à l’unité directement sur le site du fournisseur.
Pour nos premiers tests, nous avons choisi lavande, menthe et thym.
Une application permet de suivre (sans capteurs, donc juste en fonction des informations que l’on fournit) quand il faut planter les différentes espèces l’une par rapport à l’autre, à partir de quand on peut récolter,…
Dans notre cas, le thym n’a jamais voulu pousser. Mais comme prévu, il suffit de contacter le service Client et ils renvoient une cartouche de l’espèce qui n’a pas poussé.
Il y a une certaine curiosité quand les premières toutes petites pousses apparaissent, puis une satisfaction de voir les premières fleurs de lavande.
Et maintenant soit je cueille directement ma menthe pour en mettre dans mes plats, soit je la mets à sécher pour en faire des tisanes plus tard dans l’année.
Lorsque la plante a assez grandi on peut la mettre en terre (et espérer qu’elle survive) ou si elle est arrivée au bout de son cycle, les cartouches peuvent être mises au compost.
Je n’ai encore essayé ni l’une ni l’autre, mes plantes sont comme sur la dernière photo.
Pour la prochaine fois, il y a des chances que je réessaye le thym (pour la cuisine et pour les tisanes) et des tomates cerise. 🙂
Cet article n’est absolument pas sponsorisé, juste une suggestion si comme moi, vous n’avez pas la main verte, ou pas d’espace pour avoir un vrai jardin.
Le système que j’utilise se trouve chez Nature et Découverte ou directement sur Prêt à Pousser.
Il en existe d’autres plus ou moins complexes dont un chez Ikea.
Et vous, main verte ou pas ? Est-ce que vous avez essayé ? Est-ce que ça vous tente ?