santé

comment soigner le rhume ?

Sujet de saison s’il en est, le rhume, celui qui vous tombe dessus doucement ou du jour au lendemain.
Lorsque je vivais en Allemagne la seule prescription de mon médecin était arrêt de travail pour trois jours et boire beaucoup.
Les diverses campagnes de santé publique nous ont bien expliqué que les anti-biotiques ne font pas grand chose pour les rhumes, mais peut-être que l’on peut aider un peu la nature quand même !

Évidemment, si votre médecin vous a prescrit quelque chose, suivez son ordonnance 🙂
Si vous n’êtes pas encore allés chez le médecin :

  • pour nettoyer les sinus, des pulvérisations d’eau salée (que l’on trouve en pharmacie) ou même d’eau du robinet,
  • des inhalations, oui avec la tête sous une serviette ! Encore une fois soit avec des produits tout prêts, soit avec des huiles essentielles (menthe poivrée ou eucalyptus par exemple)
  • absorber de la vitamine C, c’est la saison des clémentines et des oranges, autant en profiter,
  • boire beaucoup, principalement de l’eau, ou des tisanes, par exemple au citron et au gingembre sucrée au miel, puisque ça adoucit la gorge, ou au thym qui est antiseptique,
  • les huiles essentielles peuvent aussi être utilisées en diffusion dans la pièce ou en massage, l’eucalyptus me rappelle à chaque fois le Vicks VaporRub de mon enfance !

panoplie anti rhume
Est-ce que vous avez d’autres habitudes en cas de rhume ? Je prends toutes les idées, parce qu’il vient juste de me tomber dessus !
 

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energie

En manque de lumière ?

Même s’il vient d’y avoir deux jours avec du soleil, les jours se raccourcissent, et il est de plus en plus difficile de profiter de la lumière.

Cela peut aller du coup de pompe un peu poussé, une envie d’hiberner jusqu’au SAD (ou dépression saisonnière) mais cela a forcément une influence sur notre humeur.

Les symptômes du SAD sont souvent une dépression légère ou plus lourde dès que la durée des jours diminue, une augmentation de l’appétit surtout pour des plats riches, mais surtout des sautes d’humeur plus fréquentes.

Il y a plusieurs choses qui aident à alléger ces symptômes.
– Partir en vacances au soleil (je sais ça n’est pas possible pour tout le monde, ni pendant six mois ;))
– Augmenter notre exposition à la lumière du jour. Une des raisons pour laquelle je cours en extérieur, c’est une bonne excuse pour être dehors au premier rayon de soleil.
– Les parfums peuvent aider à redonner du peps, par exemple une diffusion de l’huile essentielle de menthe poivrée ou d’eucalyptus peut vous redonner de l’énergie.
– Augmenter la luminosité à l’intérieur : ne pas hésiter à allumer les lampes dès qu’il fait trop sombre, s’entourer de bougies, voire d’un bon feu si on dispose d’une cheminée.
– Utiliser une lampe de luminothérapie, j’ai une ancienne version de celle-ci qui passe une partie de l’hiver sur la table où je prends le petit déjeuner.

Trouvez-vous que les mois d’hiver sont plus pénibles ? Avez-vous des recettes particulières pour adoucir ce moment ?

 

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Insomnies ? Oui toujours…

Je ne peux pas dire quand ça a commencé, mais j’ai toujours eu des problèmes d’anxiété et d’endormissement… bon, ado c’était probablement aussi parce que je voulais « juste finir ce chapitre avant d’éteindre la lumière ».
Toujours est-il que le sommeil n’est jamais facile pour moi et j’ai tenté tout un tas de méthode pour m’aider à tomber dans les bras de Morphée.

bonne nuit

  • prendre des médicaments (plutôt de type homéopathique), ça fonctionne mais le réveil le lendemain est pâteux,
  • faire des abdos, étrangement il y a eu une période où ça aidait, peut-être par fatigue physique,
  • lire jusqu’à m’endormir sur la page. Cela ne fonctionne que pour des livres particulièrement ennuyeux (le Rouge et le Noir (pour moi, je peux comprendre que certains aiment ;)) ou L’histoire des Chiffres (passionnant mais très aride)),
  • garder la lumière allumée. Je n’ai pas de terreurs nocturnes mais il y a un effet « si la lumière est allumée il faut rester éveillée mais je n’y arrive pas » qui m’aidait. Plus compliqué quand on partage sa chambre avec sa sœur ;),

Il y a parfois des facteurs externes qui influencent l’endormissement.
– La pleine lune. Et non je n’obsède pas sur la Lune, c’est plus un grand nombre de cas où après une mauvaise nuit, je réalise que oui c’était la pleine lune. Malheureusement pas grand chose à y faire,
– l’alcool. Pour certains ça les endort, moi ça me réveille. Seule solution : ne pas trop boire !
– le manque d’exercice physique. Ça peut se manifester par des jambes qui gigotent, électrisées, vraiment pas sympa. Encore un traitement préventif : s’assurer de bouger dans la journée, même si c’est juste danser dans son salon. Par contre, pas trop d’exercice juste avant de se coucher, ça réveille !
– les soucis généraux qui tournent en boucle dans la tête. Un bloc-note ou un journal dans lequel déverser tous les points qui prennent la tête permet de vider la mémoire vive et d’avoir l’impression d’avoir traité les problèmes, qui seront sûrement moins angoissants le lendemain matin.
– trop d’écrans. Surtout dans le cas où on lit ses mails au lit… les écrans sont souvent très lumineux, et les nouvelles jamais assez bonnes pour aider à faire de beaux rêves.

Ce qui fonctionne pour moi :
– lire un peu (tant que ça n’est pas un méga thriller),
– faire de la méditation (pour vider la tête),
– du yoga, en particulier faire les pieds au mur mais il y a aussi des séquences spéciales endormissement comme celle d’Erin Motz,
– le reiki, soit en auto-soin, soit les mains posées sur le cœur,
– un mélange d’huiles essentielles relaxantes basée sur celle de chezlapothicaire,
– changer d’endroit, pas toujours facile à faire, mais si je tourne et retourne dans le lit, parfois d’aller dormir sur le canapé m’aide à m’endormir (soyez prévenus si vous m’invitez chez vous).

Et vous ? Des troubles du sommeil et peut-être des recettes à partager ?

 

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Comment ne pas se mettre aux huiles essentielles…

Il y a plein de posts sur internet (ici explication plus scientifique) sur comment utiliser les huiles essentielles, pour quoi faire et tout. Je vais plutôt vous raconter comment moi j’ai commencé.

L’odorat est un sens très présent chez moi. Pas au point de la madeleine de Proust, mais j’ai des souvenirs très précis d’un parfum à la mandarine qui m’avait été offert pour un anniversaire et l’odeur du chévre-feuille me met toujours en joie.

Avec ça, il était à peu près évident que j’allais arriver un jour ou l’autre aux huiles essentielles.
Cela m’a longtemps intriguée, et comme j’ai des problèmes d’endormissement depuis une éternité (peut-être que si j’avais lu des livres moins prenants, j’aurais mieux dormi étant jeune…), la lavande était toute indiquée pour commencer.
Quelques gouttes sur un mouchoir posé à côté de l’oreiller, ca aide à calmer l’esprit donc à ralentir les pensées et à mieux plonger dans les bras de Morphée.
Jusqu’au moment où Monsieur trouve que ca sent quand même un peu fort, c’est agréable, mais fort… Evidemment, Monsieur n’a que rarement des problèmes pour dormir.
Sur une suggestion d’amie, je suis passée à l’orange douce, de la même manière, quelques gouttes sur le mouchoir, c’est beaucoup moins présent pour ceux qui dorment à côté.
Une autre recette magique qui détend dans la journée en cas de stress et aide à l’endormissement le soir trouvé sur le blog de l’Apothicaire : relaxation-sommeil.
Entretemps j’avais aussi découvert l’arbre à thé, quelques gouttes dans la lessive pour désinfecter un peu plus que juste une lessive à 40°C.
Et la menthe poivrée… pour les maux de tête.
C’est magique la menthe poivrée, ca dégage vraiment. Surtout quand au lieu de mettre une goutte sur les tempes ou, plus prudent, d’en verser sur une compresse pour l’appliquer sur les tempes ou les poignets, surtout donc, si on met la dite goutte d’huile essentielle de menthe trop près des yeux, pas dans les yeux, mais juste à côté. Alors là, c’est mieux que les oignons pour dégager les sinus ! Ca ne fera pas forcémment pleurer, mais on se demande franchement si on ne devrait pas se rincer abondamment à grande eau !
Bref, la menthe à petite dose, voir bien diluée dans une huile végétale.
Tout ca pour dire, que je m’y mets doucement, mais avec une grande curiosité parce que je trouve l’approche douce et saine.
Cela n’empêche pas que pour le méga mal de crâne qui ne veut pas partir, le mieux c’est toujours le cachet qui va bien.
C’est un complément santé, une prévention parfois, ce n’est pas la panacée absolue.