équilibre

Quelle est la taille de votre tribu ?

Si je vous posais cette question, ou celle de savoir combien vous avez d’amis, de proches, sauriez-vous me répondre ?

Une théorie datant de 1993 a établi que le nombre de relations humains stables que chacun de nous peut avoir est de l’ordre de 150. Le nombre est appelé nombre de Dunbar, du nom de l’anthropologiste qui a développé la théorie. Cela se base sur la taille de notre cerveau et sur nos capacités à parler à plusieurs personnes simultanément tout en liant des relations spécifiques avec les gens, en retenant des informations sur eux.

Au-delà de 150, les gens font partie d’une foule, des autres dont les vies ne nous touchent pas autant.

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Évidemment avec les nouveaux médias, nous ne sommes plus limités à notre famille, nos amis, nos collègues, mais nous pouvons aussi garder contact avec une personne croisée il y a vingt ans en vacances.

Mais ces relations-là sont-elles toutes les mêmes ? Après tout, famille, amis, connaissances, collègues sont déjà des sous-catégories, avec des liens plus ou moins forts et peut-être une limite particulière à chaque groupe, il est probable que vous n’interagissiez pas de la même manière avec un collègue rencontré pendant trois jours seulement qu’avec celui qui a été dans votre bureau pendant cinq ans. C’est aussi l’idée derrière le fameux réseau professionnel, celui qui pourrait vous aider à trouver un nouveau travail : trouver qui dans vos 150 a quelqu’un dans ses 150 qui pourrait avoir besoin de vous.

D’autres études de Dunbar ont estimé la taille des différents groupes de personnes autour de nous :

  • connaissances : 500,
  • relations : 150,
  • amis : 50,
  • proches : 15,
  • intimes : 5.

La composition peut varier même d’une semaine sur l’autre, mais la taille des groupes parait rester fixée.

Et vous, combien d’amis avez-vous sur Facebook ? quelle distinction faites-vous entre les différentes catégories ?

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energie, santé

Changer son niveau d’énergie par son alimentation ?

Je ne vais pas vous parler d’un nouveau régime ou de quoique ce soit du genre.
Par contre, je vais vous encourager à faire des essais et comparer les résultats !

En lisant des articles (sur le sucre, les fibres et autres) mais pas forcément validés, je me suis posé des questions et c’est ce que je vous invite à faire, réfléchir et essayer sur vous-mêmes.

Rien de dramatique comme de changer complétement une alimentation carnassière en vegan, mais des tests : une semaine ou deux sans sucre, sans alcool ou sans pain.
Et surtout d’observer comment vous vous sentez au niveau énergie générale, digestion…

Pour vous donner un exemple, je suis particulièrement fatiguée en ce moment. Il y a plein de facteurs à cela, mais un qui est contrôlable facilement c’est de diminuer ma consommation de sucre rapide (tout ce qui est friandises, glaces, gâteaux…). J’ai bien dit diminuer et pas supprimer 😉 parce que je préfère ne pas manger des bonbons proposés par les collègues mais plutôt une bonne pâtisserie le week-end. Ce que j’ai constaté en faisant cela, c’est que j’ai plus d’énergie, je me sens mieux et que cela m’aide à mieux supporter le reste.
De même, et toujours pour mon cas particulier, moins de problèmes de peau si j’évite le porc et le pain, et moins de problèmes de digestions si j’évite la crème fraiche et les plats en sauce.
Quand je vous dis d’essayer par vous-mêmes c’est que nous avons tous une histoire alimentaire différente. Monsieur lui n’a jamais arrêté de boire du lait entier depuis qu’il est petit, il le digère parfaitement… moi pas du tout !

Voilà, c’était mon encouragement à vous transformer en rat de laboratoire pour quelques temps.
Dites-moi ce que ça donne, il y a sûrement des essais que je n’ai pas fait moi-même et qui pourraient me servir.
 

santé

comment soigner le rhume ?

Sujet de saison s’il en est, le rhume, celui qui vous tombe dessus doucement ou du jour au lendemain.
Lorsque je vivais en Allemagne la seule prescription de mon médecin était arrêt de travail pour trois jours et boire beaucoup.
Les diverses campagnes de santé publique nous ont bien expliqué que les anti-biotiques ne font pas grand chose pour les rhumes, mais peut-être que l’on peut aider un peu la nature quand même !

Évidemment, si votre médecin vous a prescrit quelque chose, suivez son ordonnance 🙂
Si vous n’êtes pas encore allés chez le médecin :

  • pour nettoyer les sinus, des pulvérisations d’eau salée (que l’on trouve en pharmacie) ou même d’eau du robinet,
  • des inhalations, oui avec la tête sous une serviette ! Encore une fois soit avec des produits tout prêts, soit avec des huiles essentielles (menthe poivrée ou eucalyptus par exemple)
  • absorber de la vitamine C, c’est la saison des clémentines et des oranges, autant en profiter,
  • boire beaucoup, principalement de l’eau, ou des tisanes, par exemple au citron et au gingembre sucrée au miel, puisque ça adoucit la gorge, ou au thym qui est antiseptique,
  • les huiles essentielles peuvent aussi être utilisées en diffusion dans la pièce ou en massage, l’eucalyptus me rappelle à chaque fois le Vicks VaporRub de mon enfance !

panoplie anti rhume
Est-ce que vous avez d’autres habitudes en cas de rhume ? Je prends toutes les idées, parce qu’il vient juste de me tomber dessus !
 

apprendre, santé

Les mystères de la mémoire

Voici un résumé de la conférence du même titre de Michel Cymes, jeudi 19 novembre à Toulouse. Les images et chiffres cités ci-dessous sont extraits de la conférence ou des documents associés.

Fonctionnement du cerveau et de la mémoire

Le cerveau pèse environ 1.4kg soit 2% du poids du corps, utilise 20% de l’énergie totale. Il contient 100 milliards de neurones qui sont chacun connectés à 1000-15000 autres neurones.
La communication entre les neurones se fait via des neurotransmetteurs (tels que dopamine, sérotonine…) au niveau des synapses.
Nous perdons 100 000 neurones par jour, mais ils se reconstituent à tout âge.
Lorsque l’on arrête de se servir de la mémoire, on la perd plus rapidement.

Le processus de mémorisation se décompose en encodage (acquisition des informations grâce à nos sens), stockage (maintien de l’information dans le temps), consolidation (période de répétition automatique par le cerveau pour que l’information soit retenue plus longtemps), rappel et récupération (restitution de l’information, plus le nombre d’association avec l’information est élevé plus facile sera la récupération).
L’encodage est assuré par l’hippocampe qui transmet l’information aux lobes pour le stockage.

Le stockage des informations a lieu dans les différentes parties du cerveau :

  • le lobe frontal stocke les informations de vigilance et les émotions,
  • le lobe temporal stocke le langage,
  • le lobe occipital stocke les informations visuelles,
  • le lobe pariétal stocke les gestes.

Le vieillissement entraine :

  • au niveau du cerveau :
    • diminution de la taille du cerveau,
    • diminution du nombre de neurones,
    • diminution des neurotransmetteurs,
    • raréfaction de la matière blanche.
  • au niveau général :
    • diminution de la perception cognitive et sensorielle,
    • diminution des fonctions motrices,
    • diminution du sommeil,
    • troubles de l’humeur,
    • apparition des maladies dégénératives.

Les différents types de mémoire:

  • sensorielle, active en 0.5 secondes,
  • court terme, dure environ 10 secondes, contient jusqu’à 7 informations en même temps, celle qui permet de retenir un numéro de téléphone juste assez longtemps pour le composer,
  • long terme, sur la durée, voire à vie. Elle peut être explicite (on souhaite retenir quelque chose) ou implicite (sans décision de notre part), l’apprentissage peut être conscient (les tables de multiplication ;)) ou inconscient.
  • sémantique, les connaissances générales dont on ne sait pas d’où elles viennent,
  • procédurale, physique que l’on n’oublie pas (marcher, parler, faire du vélo).

schéma types de mémoire

Un des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer est la difficulté à apprendre car les premières lésions apparaissent sur l’hippocampe.
Les dernières recherches ont montré que des plaques amyloïdes se forment dans le cerveau et ont une influence sur le développement de la maladie d’Alzheimer. Elles sont détectables par IRM entre 10 et 20 ans avant le début des troubles. Des pistes de recherche visent à retarder l’arrivée des plaques ou les faire disparaître.

Quand consulter ?

  • si on a des antécédents familiaux,
  • s’il y a des troubles significatifs de la mémoire, au point où l’entourage le remarque,
  • s’il y a diminution des capacités (dans la vie de tous les jours, démotivation…)

Qui consulter ?
Le médecin généraliste qui pourra faire les premiers tests et diriger vers une consultation mémoire avec un gériatre ou un neurologue.

Comment optimiser sa mémoire ?

On ne peut pas tout mémoriser, mais certains facteurs aident à la rétention d’information.

l’attention et la concentration,

  • être conscient de l’environnement et des actions que l’on fait,
  • répéter et relire plusieurs fois,
  • écrire renforce la mémorisation,
  • faire des pauses après 90 minutes d’activité intellectuelle pour faciliter la mémorisation,

les perceptions sensorielles,

cumuler les sens comme se concentrer sur la vue et l’ouïe, augmente la quantité d’information stockée et les connexions qui rendent le rappel plus facile.

stimuler la mémoire,

chaque type de jeux travaille une mémoire différente (mots croisés : mémoire sémantique, jeux de chiffres : mémoire de travail, jeux de cartes : capacité de stockage de la mémoire), mais le plus important c’est de leur faire par plaisir plutôt que parce qu’il le faut.
Prendre plaisir à ce qu’on fait génère des endorphines qui aident le fonctionnement du cerveau et de la mémorisation.

Une vie saine et équilibrée

aide à la bonne santé du cerveau et à garder une mémoire en bon état de marche.

  • Avoir une activité intellectuelle régulière et stimulante,
  • Pratiquer de l’activité physique, au moins 30 minutes de marche 5 fois par semaine, cela aide à diminuer les plaques amyloïdes dans le cerveau.
  • Une alimentation équilibrée contenant de la vitamine B (pour les connexions nerveuses), des sucres lents (pour l’énergie), du Magnésium, du Zinc, des fruits et légumes et des lipides (pour les Oméga 3).
  • Le sommeil de bonne qualité permet de mémoriser les informations par consolidation (répétitions en automatique).

 

santé

Quelque chose de frais

En ces moments de grandes chaleurs estivales, une recette pour rafraîchir. Dès qu’il commence à faire un peu trop chaud pour le thé (il ne fait jamais trop chaud pour du thé), j’ai en permanence du thé glacé au frigo, il n’y pas grand chose de plus désaltérant et c’est très simple à faire.

Evidemment on peut juste faire son thé avec de l’eau bouillante et le laisser refroidir, mais l’infusion à froid fonctionne aussi très bien.
Juste mettre la quantité habituelle de thé dans une boule à thé, remplir un grand récipient (j’utilise de grands bocaux en verre) d’eau fraîche, et mettre le thé à infuser pendant au minimum 30 minutes.
Comparativement à un thé infusé à chaud, il y a peu de chance que le thé soit trop fort.

J’aime bien utiliser des thés verts parfumés (gingembre-citron, ou bergamote) ou des thés fumés pour ce genre d’infusion.
Le sarrasin grillé s’y prête aussi très bien.

Et vous, quels thés aimez-vous boire froid ?
D’autres recettes rafraîchissantes ?
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équilibre, energie

Rythmes circadiens, couche-tôt ou tard ?

Si on nous pose la question, couche-tôt ou couche-tard, nous avons tous une vague idée de ce que nous sommes, basée sur les moments où nous sommes le plus efficace.
Il existe un test de Horne et Ostberg qui permet de savoir ce qu’il en ait, sans nos biais habituels.

Ce rythme propre est décrit par le rythme circadien, qui dans une période de 24h voit varier les périodes d’éveil et de sommeil, mais aussi les périodes où nous sommes plutôt en forme pour des activités intellectuelles ou des activités physiques.

rythme circadien

En effet, nous sommes contraints par la société, et par notre profession à avoir des horaires fixes.
Mais nous connaissons tous des gens qui semblent vivre la nuit et arrivent au bureau à 10 voire 11h pour partir beaucoup plus tard que tout le monde ou ceux qui pour faire les activités qui leur plaisent rester debout jusqu’à 3h du matin.
De mon côté, j’ai plus de facilité à me lever à 6h du matin pour aller courir, mais n’espérez pas que je tienne une conversation détaillée et cohérente après 23h 😉

Avoir ce genre d’information sur soi-même et sur les gens qui nous entourent permet de ne pas fixer des rendez-vous matinaux aux couche-tards ou de prévoir une réunion à 18h pour quelqu’un qui se lève tous les jours à 5h.
Cela permet aussi de savoir quand dans la journée vous serez plus efficace pour un effort intellectuel ou physique.

Et vous ? Etes-vous couche-tôt ou couche-tard ? Est-ce naturel ou vous êtes vous habitué.e progressivement à ce rythme ?

 

santé

Compléter les médicaments et se soigner par les plantes, les tisanes

Le pouvoir médicinal des plantes est utilisé depuis longtemps.
Evidemment il s’agit ici de soigner un petit truc, un repas trop lourd, un rhume, et pas de remplacer la médecine pour des pathologies plus complexes.

Le diplôme d’herboriste n’est plus attribué en France depuis 1941, mais il existe toujours des endroits où se fournir en plantes, certaines pharmacies (pour les espèces à usage thérapeutique), des magasins bio (pour les autres) et surtout, le mieux faire la cueillette soi-même dans son jardin ou dans celui des amis pour les plantes que l’on connaît.

Il y a trois méthodes pour préparer la boisson à un usage interne :
– l’infusion : mettre la plante dans l’eau froide, porter à ébullition, arrêter le chauffage et laisser reposer entre 5 et 10 min avant de filtrer et boire,
– la décoction : débuter comme l’infusion mais laisser bouillir le mélange un certain temps,
– la macération : laisser la plante dans le liquide (eau, vin, huile) un certain temps. Pour les principes actifs plus fragiles.

plantes

Par les fortes chaleurs, on peut aussi faire l’infusion et boire le mélange une fois refroidi.

Les plantes les plus couramment utilisées (et celles dont je dispose) et leurs vertus :
– le thym : puissant antiseptique, stimulant des voies respiratoires, digestives, circulatoires, troubles hépatiques.
– le romarin : stimulant, diurétique, antiseptique.
– le tilleul : antispasmodique, légèrement sudorifique et diurétique.
– l’anis étoilé (badiane) : stimulante, digestive.
– la verveine citronnée : digestive, tonique, antispasmodique. Contre-indiquée pendant la grossesse.
– la menthe : digestive, anti-diarrhéique, antiseptique des voies respiratoires, antispasmodique, antalgique, stimulant du système nerveux.
– le gingembre : digestif,
– le fumeterre : dépurative, apéritive, stomachique, diurétique, tonique. Après 8 jours de traitement, il devient calmant et hypnotique.
– la fleur d’oranger : calmant, ma mère m’en donnait pour me faire dormir lorsque j’étais enfant, j’adore toujours !

anis étoilé

Pour connaître les propriétés des plantes dont je dispose, et quelle tisane faire pour quels symptômes, j’utilise l’Herboristerie Familiale de MC FABRE, A GENIN, J MERIGOUX, É MOGET(je n’ai pas retrouvé de lien original sur internet, uniquement des copies de copies, ni rien sur Amazon), qui référence des plantes communes en France et leurs utilisations au quotidien.

Le site altheaprovence comprend aussi une belle page sur les propriétés des plantes.

J’ai entendu parler de boire de la lavande, et du bouleau pour les maux de tête mais je n’ai pas essayé.

Et vous, quelles plantes utilisez-vous en tisane, pour soigner quoi ?

équilibre, santé

Bien-être et Travail

Voici un résumé de la conférence du même titre de Michel Cymes, mercredi 27 mai à Toulouse. Les chiffres cités ci-dessous sont extraits de la conférence ou des documents associés.

photo Conf

6 salariés sur 10 ont des problèmes de santé liés au travail, dont 44% de stress.
Le stress en lui-même est juste une réponse naturelle du corps à une mise en danger (pour pouvoir soit fuir soit combattre en cas de danger), mais à la longue, il devient pathogène.

Les symptômes d’un stress trop élevé :
– migraine, tension artérielle, problèmes de peau,
– fatigue, vieillissement, déficit nutritionnel,
– anxiété

Il y a trois facteurs d’organisation aggravants le stress en entreprise :
– absence de marge de manœuvre, de contrôle et d’autonomie
– manque de soutien social (collègues), et exigences émotionnelles (sourire, bonne humeur imposés)
– exigences psychologies (perte de sens, surcharge de travail, insécurité de la situation de travail)

Le stress peut aussi venir d’une accumulation de petites choses, comme la complexité des trajets domicile-travail.

Il existe des tests/échelles qui permettent de mesurer les degrés de stress ou de risque de burn out :
– échelle de Holme et Rahe, quantifie les facteurs de stress en fonction des situations de vie questionnaire1
échelle de Maslach (2005), quantifie les risques de burn-out questionnaire2
stressomètre entrepreuneurial, pour les responsables d’entreprise 3

3 millions d’employés sont estimés être en risque de Burn Out.
Les signes avant-coureurs en sont :
– palpitations, anxiété,
– fatigue générale, maux de tête,
– perturbations alimentaires,
– troubles du sommeil,
– augmentation des utilisations de produits addictifs (tabac, alcool, médicaments)
– émotivité accrue,
– difficulté à fournir un effort physique.

Une fois le burn-out en place, on constate :
– émoussement des émotions, perte de contacts,
– sentiment d’impuissance et pessimisme,
– sentiment d’être inutile,
– dépersonnalisation, cynisme,
– difficultés de concentration,
– remise en question sociale, (famille et amis).

Les personnes les plus investies sont les plus à risque. Le fait de vouloir tenir à tout prix, par sentiment de culpabilité ou pour ne pas être mal vu est dangereux parce que la situation ne peut qu’empirer.

Comment combattre les risques :
– dormir suffisamment,
– avoir une activité physique régulière,
– une alimentation équilibrée,
– éviter les excitants (tabac, alcool) qui n’offrent qu’un soulagement temporaire au stress,
– déconnecter. L’emprise du travail augmente pour tous lorsque 61% des employés consultent leurs mails professionnels le soir, le week-end et pendant les vacances.
– sortir de l’isolement. Si l’on perçoit qu’un collègue est en train de s’isoler, essayer d’ouvrir le dialogue. Une personne en stress n’ira pas facilement vers les autres.
– parler du problème, si possible à l’intérieur de l’entreprise (hiérarchie, médecine du travail, délégués du personnel…), sinon avec son médecin généraliste ou des gens dans la même situation,
– avoir un réseau social au travail. L’implication au travail est multipliée par 7 lorsqu’il y a un lien d’amitié fort dans l’entreprise. Etre entouré d’un collectif dans l’entreprise permet de mieux résister et de mettre en place une résistance groupée.
– savoir dire non, à des sollicitations trop fortes. Si la sollicitation se transforme en injonction, envisager de partir (du poste pour être replacé dans un autre département de l’entreprise, ou de l’entreprise elle-même).

Les entreprises ont un devoir de protection de la santé physique et mentale des salariés.
Les programmes de bien-être en entreprise augmentent de 56% le bonheur des salariés et de 8% la productivité. Pour 1€ investi dans le bien-être le retour sur investissement est de 13€.

Avez-vous déjà subi des situations de stress voire de burn-out au travail ? ou vu un collègue les subir ?
Quelles seraient vos conseils ?
 


  1. questionnaire interactif sur Passeportsante.net 
  2. questionnaire interactif sur masef.com 
  3. développé par O. Torres (présent à la conférence) pour l’observatoire Amarok